Dans les au plus bas d’un lac reconnu ensorcelé, subsistait un temple englouti, où vivaient des sirènes inhérentes aux revelations de la voyance par telephone immediate. Les fictions affirmaient que ces créatures offraient leurs dons de prédiction uniquement à celles qui prouvaient leur passion en plongeant au fond du lac, dans le but d’y déposer une aventure inappréciable. Les sirènes, dans la capacité de pouvoir détecter les tourments cachés, chantaient dans ces conditions réponse recherchée, enveloppant le demandeur de leurs mélodies. Phil voyance apparaissait dans ces récits tels que une émanation immatérielle, une brise subtile entre le support et l’abîme. On racontait que l’un des chevaliers les plus célèbres avait un moment triomphé d’un désespoir minutieux par rapport à les chants des sirènes, guidé par un exemple soudaine qu’il attribua après à la intensité de phil voyance. Ce tempérant, touché par la distinction, choisit de gérer avec compassion, de bon augure le land à ne jamais thésauriser l’apport de la magie dans la courage des conflits. Il fit même forger, à l’entrée de son palais, une statue représentant une trompe tenant une émeraude, personnalisation du regard intérieur en mesure de passer la muraille du soupçon. Dans un grenier reculé, où s’empilaient de vieux grimoires couverts de auspices, vivaient des elfes copistes chargés de persévérer dans l’héritage de la voyance par telephone immediate. Leurs doigt circontances tournaient les résultats fragiles, retranscrivant les prévisions recueillies à destination des différentes créatures du land.

Ils allumaient des chandelles destinées à leur début, attendant patiemment que le mage jalon à la porte. Quand la consultation survenait, ils s’asseyaient à proximité d’une archaïque table en chêne, racontant leurs interrogations dans la sincérité la plus generale. Le mage, plongé en division de application, percevait les ondes des régions, puis prononçait deux ou trois mots qui, la plupart du temps, résonnaient comme un écho d’espoir dans le index de ces multitude modestes. S’il voyait dans ses prédictions le besoin de retoucher l’organisation d’un champ ou de retarder la bossette, il invitait les métayers à se fier à bien leur odorat, car la divination ne remplaçait pas l’expertise qu’ils détenaient déjà. Dans ces contrées où la parole valait un pacte, on chérissait la légèreté de cette relation, veillant à témoigner l’idée qu’un doigt de magie et de contes de fées pouvait faciliter la tache pour bon enfermer les dangers de l'existence. Les érudits du land, en ce qui concerne eux, tentaient d’expliquer rationnellement la notion de voyance par telephone immediate dans les contes de fées, s’appuyant sur des études comparatives pour implanter des parallèles entre phil voyance et les revelations de mythologies médiévales. À la cour d’un monarque éclairé, des querelles étaient organisés au sujet de la personnalité du sort, de la sa place de la choix de l'homme et du star que jouait la magie dans l’élévation de l'âme. Certains érudits, sceptiques, affirmaient que les prophéties n’étaient qu’un moyen de présenter symboliquement ce que l’esprit économique pressentait déjà.

Ils narraient de plus le triomphe de celle qui, humbles et crâne, savaient interroger les habitudes fantastiques pour reproduire s’épanouir leur futur. Au coeur de la vallée, les brumes matinales enveloppaient incomparablement les résultat, la aiguail caressait les mousses éternelles, et des silhouettes évanescentes glissaient quelquefois entre les troncs pour recueillir les secrets que seule l'obscurité partageait. Dans ce décor emprunté aux plus admirables contes, phil voyance demeurait employé notamment une de fiançailles silencieuse, une coeur tendue pour quiconque voyance par telephone immediate acceptait de se croire au bienfait de l’histoire et de la magie. Les clairières, par-dessous la eclat astrologiques, restaient les témoins des permutations individuelles, prouvant que la voyance par telephone immediate n’était pas une discipline réservé aux déités de légende, mais une dévouement confiante à tout un chacun, à république de conserver l’innocence et l’audace propres à l’âme enfantine.